Jésus et l’argent : nul ne peut servir deux maîtres
Homélie prêchée le 23 septembre 2007, 25ème dimanche du Temps Ordinaire, au couvent Saint-Thomas d’Aquin de Toulouse.
Homélie prêchée le 23 septembre 2007, 25ème dimanche du Temps Ordinaire, au couvent Saint-Thomas d’Aquin de Toulouse.
Llama la atención la variedad de lugares y ambientes en los que Jesús anuncia el Reino. Le vemos predicando en Jerusalén y en pueblos muy alejados. En el Templo, en sinagogas o en casas. En el llano, al borde del lago y en las montañas. Cuando la gente está orando, trabajando, en una fiesta o comiendo. Y tras Pentecostés, sus discípulos lo difundirán a todas las culturas. El Reino de Dios no tiene fronteras. Abarca a todos: “Ya no hay judío ni griego, ni esclavo ni libre, ni hombre ni mujer” (Gal 3,28), dirá más tarde san Pablo.
Après l’Annonciation, Marie s’est rendue auprès d’Élisabeth, et précise Saint Luc, en grande hâte. Accompagnons-la, nous qui sommes aussi des pèlerins, des pèlerins de Noël, qui bientôt se hâteront vers les Crèches.
Bientôt, il fera nuit ; et bientôt s’étendront des ténèbres ! La nuée ne sera pas lumineuse, le soleil sera comme voilé ! La Ville de Paix rejettera son Sauveur ; la liesse d’un instant ne sera plus de saison. Chacun le sait, le sent. Nul n’en parle pourtant. La stupeur est là et plombe le silence.
S’il est certains jardins aux couleurs de l’Éden, d’autres restent trop sombres. Les oliviers y croissent, mais les pressoirs oppressent : Gethsémani, en désigne un. Tout commencera donc là. En quelques instants, le temps que Jésus soit trahi, arrêté, transféré, c’en sera fait.
Homélie prêchée à la messe du jour de Noël 2009