Un feu de braise
Homélie de la Messe de la Passion prêchée le 16 mars 2008
Homélie de la Messe de la Passion prêchée le 16 mars 2008
Hier, alors que nous célébrions la Cène du Seigneur, nous avons regardé le Christ laver les pieds de ses disciples. Nous l’avons regardé instituer l’Eucharistie et nous y avons vu l’amour infini de notre Dieu.
Aujourd’hui, l’heure n’est plus à la fête. C’est même l’heure des ténèbres. Le Roi des rois subit le supplice infamant de la Croix.
Primice je dar.
Je darem od Boha i darem pro Boha. Boha, který se dává v Eucharistii, a Boha, který nás žádá, abychom mu Eucharistii obětovali.
Je darem i pro novokněze. Je příležitostí, při níž se shromáždí jeho rodina a přátelé. První mše je výjimečná a vzpomínáme na ni celý život. Má příchuť začátků, prvních lásek.
Une homélie prêchée pour la mémoire de Notre-Dame des Douleurs, le 15 septembre 2010, au Couvent Saint-Thomas d’Aquin de Toulouse.
Bientôt, il fera nuit ; et bientôt s’étendront des ténèbres ! La nuée ne sera pas lumineuse, le soleil sera comme voilé ! La Ville de Paix rejettera son Sauveur ; la liesse d’un instant ne sera plus de saison. Chacun le sait, le sent. Nul n’en parle pourtant. La stupeur est là et plombe le silence.
S’il est certains jardins aux couleurs de l’Éden, d’autres restent trop sombres. Les oliviers y croissent, mais les pressoirs oppressent : Gethsémani, en désigne un. Tout commencera donc là. En quelques instants, le temps que Jésus soit trahi, arrêté, transféré, c’en sera fait.
Omelia predicata in Tolosa, 21 marzo 2008, Venerdi Santo
E’ l’ora delle tenebre.
Il terribile annuncio dei profeti si é compiuto: l’innocente é stato messo a morte.
Una morte vergognosa,ignobile: quella della Croce
La morte del Figlio del Padre. La morte del Figlio della Madre.