La Présentation : pas d'offrande sans Marie !
Homélie prêchée pour la fête de la Présentation du Seigneur, le 2 février 2010
Homélie prêchée pour la fête de la Présentation du Seigneur, le 2 février 2010
Anne, fille de Phanuel… veuve… elle ne quittait point le temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et dans la prière.
Homélie prêchée le 2 février 2014, pour la fête de la Présentation du Seigneur, au Couvent des Ursulines de Fribourg (Suisse)
Dans l’Évangile d’aujourd’hui Jésus est désigné comme la lumière. Rappelons nous les mots de Syméon : « Car mes yeux ont vu ton salut... lumière pour éclairer les nations... ». A nous de réfléchir sur ce que cela veut dire.
Il y avait un homme dont le nom était Syméon, ce qui signifie : « Le Seigneur a entendu. » selon l’étymologie populaire qu’en donne le livre de la Genèse (Gn. 29, 33).
Mais attention cet homme n’est pas quelconque. L’Évangile le souligne par l’introduction solennelle : ‘Et voici’… Ainsi il y avait un homme, et cet homme est un maître de vie.
Une homélie prêchée pour la fête de la Présentation de Seigneur au Temple, le 2 février 2011, au Couvent Saint-Thomas d’Aquin de Toulouse.
Maintenant, juste en ce moment, nous faisons comme dans l’évangile. Nous bénissons Dieu comme Syméon. Nous le louons comme Anne. Nous tâchons d’accomplir la loi d’amour comme Joseph et Marie. Nous fêtons la Présentation du Seigneur.
Qu’est-ce que c’est, cette présentation du Seigneur ? En quoi consiste-t-elle ?
Jésus est emmené au Temple de Jérusalem.